Comment saisir cette chance ? Comment préparer notre village à l’avenir ?

Ceux qui ont moins de 60 ans aujourd’hui ont de bonnes chances de vivre l’année 2050. L’accord sur le climat conclu à Paris fin 2015 oblige la Suisse, dans le cadre de la communauté internationale, à présenter d’ici 2050 un bilan CO2 neutre pour le climat. Si cet objectif n’est pas atteint, le changement climatique mondial continuera à s’intensifier sans aucun frein. Notre cadre de vie habituel risque alors d’être bouleversé. Mais nous ne devons pas en arriver là. Il s’agit de créer dès aujourd’hui les bases sociales et techniques qui nous permettront de bien vivre, même sans utiliser d’énergies fossiles. Moi aussi, j’ai longtemps eu du mal à m’imaginer un tel changement. Aujourd’hui, l’association Protection du climat a créé une vision de ce à quoi pourrait ressembler une Suisse sans énergie fossile en 2050 et je me demande : pourquoi, au nom du ciel, ne nous sommes-nous pas déjà tous mis ensemble et engagés depuis longtemps ?
avec un engagement total sur cette voie ? (voir : suisse-2050.ch).

Des villes comme Zurich, Bâle, Berne et même Bienne construisent déjà cet avenir. Ceux qui attendent ne doivent pas s’étonner d’être distancés, voire dépassés par les événements. Il s’agit de saisir la chance et de préparer notre village à l’avenir.

Qui peut nous aider ? Nous discuterons des premières étapes lors de l’atelier sur l’avenir du mercredi 23 février 2022.

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